NFU Policy archive
The holding place for all policy entries in the NFU site – policy briefs and papers.
Séparer le grain de l’ivraie en ce qui concerne les propositions de réforme fiscale
La proposition du gouvernement fédéral de modifier les mesures fiscales applicables aux sociétés privées fait couler beaucoup d'encre. Malheureusement, le débat est devenu très animé et de nombreuses informations douteuses circulent. Nous avons vu des journalistes dire que ces changements feront qu'il n'y aura plus d'avantage à constituer une exploitation agricole, d'une part, et suggérer qu'ils ruineront l'exploitation familiale, d'autre part. Les informations suivantes ont pour but de fournir des renseignements utiles sur les changements proposés et leur contexte plus large afin que les membres de l'UNF, les autres fermiers et le grand public puissent mieux évaluer l'impact potentiel des changements proposés aux mesures fiscales pour les sociétés privées et, s'ils le souhaitent, apporter une contribution utile à la consultation publique du gouvernement fédéral sur le système fiscal.
Lire la suiteMémoire de l’UNF sur le projet de loi C-49, la Loi sur la modernisation des transports
Le mémoire de l'UNF met l'accent sur la nécessité d'amender le projet de loi C-49 pour supprimer les changements apportés à l'obligation de transporteur public dans la Loi sur les transports au Canada ; conserver la définition des wagons-trémies du gouvernement dans la Loi sur les transports au Canada ; ajouter l'obligation d'un examen complet des coûts en vertu du droit à un revenu maximal dans la Loi sur les transports au Canada ; conserver le maximum de 15 % pour la participation d'un individu dans CN Rail en vertu de la Loi sur la commercialisation du CN ; modifier la Loi sur les transports au Canada afin de rétablir la capacité d'un groupe de fermières de présenter une pétition pour l'établissement de nouveaux sites de chargement de wagons de producteurs ; et modifier l'article 5 de la Loi sur les transports au Canada afin de mettre à jour la politique nationale des transports du Canada. Elle note également que les dispositions relatives aux pénalités réciproques introduites par le projet de loi C-49 ne profiteront probablement pas aux fermières. Nous demandons également la création d'un organisme indépendant, le Producer Car Reciever, qui permettrait de contrôler le pouvoir des sociétés céréalières et des chemins de fer.
Lire la suiteMémoire présenté au le projet de loi C-49
Loi apportant des modifications à la Loi sur les transports au Canada
Le mémoire du UNF met l'accent sur la nécessité de modifier le projet de loi C-49 afin de supprimer ses modifications à l'obligation du transporteur public dans la Loi sur les transports au Canada ; conserver la définition des wagons-trémies du gouvernement dans la Loi sur les transports au Canada ; ajouter l'obligation de procéder à un examen complet des coûts en vertu du droit aux revenus maximaux prévu dans la Loi sur les transports au Canada ; retenir le maximum de 15% pour l'actionnariat de CN Rail en vertu de la Loi sur la commercialisation du CN ; modifier la Loi sur les transports au Canada afin de rétablir la capacité d'un groupe d'agriculteurs de demander l'établissement de nouveaux sites de chargement de wagons de producteurs ; et modifier l'article 5 de la Loi sur les transports au Canada pour mettre à jour la politique nationale du transport du Canada. Il note également que les dispositions sur les sanctions réciproques prévues dans le projet de loi C-49 ne profiteront probablement pas aux agriculteurs. Nous demandons également la création d'un receveur des wagons du producteur indépendant, qui permettrait de vérifier le pouvoir des compagnies céréalières et des chemins de fer.
Lire la suiteSoumission de l’UNF à la CCG sur le projet de modernisation de la classe du blé de l’Est
L'UNF ne soutient pas le développement d'une nouvelle classe de blé à des fins spéciales pour l'Est du Canada (CESP) parce qu'elle n'est pas nécessaire pour l'agriculture canadienne et qu'elle risque de causer de graves problèmes aux fermières et à l'image de marque du blé canadien. Si la classe CESP proposée est introduite, nous pensons qu'elle serait contraire à la mission et au mandat de la CCG. La classe proposée est essentiellement une catégorie "sans exception" qui ouvrirait la porte à toutes les variétés qui ne répondent pas aux paramètres de qualité des dix classes de blé oriental existantes, ce qui compromettrait la réputation du Canada en matière de blé de haute qualité et entraînerait une baisse des prix et une augmentation des coûts pour les fermières.
Lire la suiteContribution à la consultation fédérale sur les tickets de caisse
Le report de paiement est un outil précieux pour aider les fermières à gérer leur trésorerie et leur permettre de profiter des opportunités de livraison. Le système de transport des céréales fonctionnera plus efficacement si les fermiers n'ont pas à gérer le calendrier de leurs livraisons de céréales en fonction de considérations liées à l'impôt sur le revenu. Il serait injuste d'exiger des fermières qu'elles soient imposées sur plus d'une année de production au cours d'une année donnée en raison de conditions de livraison des céréales qui échappent au contrôle des fermières. Par conséquent, l'UNF recommande de maintenir l'option de report de l'impôt sur le revenu en ce qui concerne les bons d'achat différés pour les livraisons de blé, d'avoine, d'orge, de seigle, de lin, de colza et de canola, et d'étendre le report des bons d'achat différés à toutes les autres céréales couvertes par la loi sur les céréales du Canada, à savoir les haricots, le sarrasin, les pois chiches, le maïs, les féveroles, les lentilles, les céréales mélangées, les graines de moutarde, les pois, les graines de carthame, les graines de soja, les graines de tournesol, et le triticale.
Lire la suiteRèglement sur la sécurité alimentaire pour les Canadiens
L'UNF a soumis trois propositions dans le cadre de la consultation sur le projet de règlement "Des aliments sûrs pour les Canadiens". La lettre du Comité du marketing direct de l'UNF met l'accent sur les implications pour les exploitations agricoles qui font du marketing direct dans des communautés qui chevauchent les frontières provinciales. Le mémoire de l'UNF du Nouveau-Brunswick met l'accent sur les implications pour les fermières du Nouveau-Brunswick. La contribution de l'UNF préparée par le bureau national s'est concentrée sur les implications pour les producteurs de fruits et légumes frais et pour le secteur biologique. (Cliquez sur les liens surlignés pour lire les soumissions complètes) Rapport du gouvernement sur le processus de consultation : Rapport sur ce que nous avons entendu - Consultation sur le projet de règlement sur la salubrité des aliments pour les Canadiens
Lire la suiteImpacts sur le marketing direct de la proposition de règlement « Des aliments sûrs pour les Canadiens » (Safe Food for Canadians)
18 avril 2017 Richard Arsenault, directeur exécutif Direction des systèmes nationaux de sécurité alimentaire et de l’hygiène des viandes Agence canadienne d’inspection des aliments 1400 Merivale Road, Tour 1 Ottawa,
Lire la suiteSoumission de l’UNF à l’étude sur le changement climatique de la commission sénatoriale de l’agriculture
Impact potentiel des effets du changement climatique sur les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la sylviculture
La commission sénatoriale a invité l'UNF à présenter son point de vue sur les impacts potentiels du changement climatique sur l'agriculture et les fermiers. Voici un extrait du mémoire présenté le 11 avril 2017 : La commission sénatoriale a invité le UNF à présenter notre point de vue sur les impacts potentiels du changement climatique sur l'agriculture et les fermières. Voici un extrait du mémoire présenté le 11 avril 2017 : Les mesures d'atténuation - les moyens de réduire les émissions et les moyens d'éliminer le carbone de l'atmosphère - devraient également favoriser l'adaptation et la résilience. La redondance et la diversité sont les clés de la résilience. Si les fermières produisent une gamme de produits et intègrent des zones tampons naturelles dans le paysage agricole, elles seront mieux à même de survivre à des conditions climatiques imprévisibles, à des événements météorologiques extrêmes et à des conditions de marché erratiques. Les fermières gèrent des millions d'hectares de terres au Canada et, avec le soutien adéquat, elles peuvent apporter une contribution considérable en augmentant la teneur en carbone organique du sol.
Lire la suiteSoumission de l’UNF à l’ARLA concernant la proposition de décision sur l’imidaclopride
La décision réglementaire proposée supprimerait progressivement, sur une période de trois à cinq ans, toutes les utilisations de l'insecticide imidaclopride en extérieur dans l'agriculture, l'ornementation, le gazon et l'arboriculture (à l'exception des utilisations par injection dans les arbres) ainsi que dans les serres, et limiterait son utilisation à des applications très restreintes telles que le traitement des puces pour les animaux domestiques et l'injection dans les arbres pour lutter contre l'agrile de la frêne. La décision mettrait également en œuvre des mesures de précaution supplémentaires pour protéger la santé de l'homme et de l'écosystème pendant la période d'élimination progressive. Nous pensons que cette proposition de décision est une étape positive et nous la soutenons pleinement. Nous demandons également à l'ARLA de mettre en œuvre des mesures de contrôle et d'application efficaces pour garantir le respect des nouvelles restrictions d'étiquetage au cours de la période de retrait progressif. Nous demandons instamment à Santé Canada de collaborer avec Environnement Canada et Agriculture et Agroalimentaire Canada pour promouvoir des insecticides alternatifs moins toxiques et des techniques agricoles non chimiques pour la lutte contre les insectes nuisibles en général, en mettant l'accent sur les cultures qui utilisent actuellement l'imidaclopride. Nous encourageons vivement les gouvernements fédéral et provinciaux à aider les fermières à adopter de tels produits et méthodes afin de réduire la quantité de produits chimiques agricoles toxiques appliqués sur nos terres agricoles.
Lire la suiteCommentaires de l’UNF sur le projet de règlement relatif aux crédits compensatoires de conformité de l’Ontario
L'UNF est opposée au commerce international des crédits de compensation carbone. Lorsque les transactions impliquent des pays en développement qui n'ont pas toujours la capacité de s'assurer que ces achats créent des compensations réelles, le risque de fraude est élevé. L'UNF s'oppose également au commerce international des compensations carbone, car il a déjà permis à de puissantes entreprises de prendre injustement des terres à de petits fermiers pour soutenir des crédits carbone illégitimes ou mal réglementés. Par conséquent, nous soutenons la restriction proposée par le règlement de l'Ontario qui limite les initiatives de compensation admissibles à celles qui se déroulent à l'intérieur des frontières du Canada. Nous soutenons également l'exigence de déclaration qui garantit que les compensations enregistrées en Ontario ne sont pas utilisées simultanément dans le cadre d'un autre système d'échange de quotas d'émission.
Lire la suiteSoumission de l’UNF-NB au Comité de l’agriculture sur le prochain cadre stratégique pour l’agriculture
Les jeunes qui vont à l'université ont plus de chances de devenir des "professionnels de l'agriculture", plutôt que des fermiers. Même si ces esprits brillants sont diplômés de programmes agricoles, l'agriculture n'est toujours pas considérée comme un choix de carrière viable. Pourtant, jamais auparavant nous n'avons compté sur un si petit nombre de personnes pour nourrir la population canadienne (1,6 %) et jamais auparavant nous n'avons été dans une situation où 75 % des fermiers déclarent qu'ils vendront leurs terres et leurs actifs au cours des dix prochaines années. En tant que société, nous nous préparons à l'échec.
Lire la suiteSoumission de l’UNF à la commission de l’agriculture sur le prochain cadre stratégique pour l’agriculture
L'UNF estime que le gouvernement a un rôle majeur à jouer dans la promotion de la confiance dans notre système alimentaire en assurant une réglementation, une transparence et des tests adéquats. Mais compte tenu de l'histoire des groupes qui ont défendu leur version particulière de la "licence sociale" et de l'évolution constante de ce que la société considère comme les "meilleures pratiques", il existe un risque extrême que la déclaration de Calgary concernant la confiance du public conduise le gouvernement à financer des messages qui ne sont pas toujours véridiques et qui sont souvent exagérés. Pire encore, cela pourrait conduire le gouvernement lui-même à émettre de fausses déclarations.
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