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Lettre d’information de l’Union Fermière :

Avril – Mai 2019

Dans ce numéro …

Les redevances sur les semences ne sont qu’une partie de l’histoire : Pourquoi les multinationales des semences veulent imposer des restrictions sur les semences de ferme – Une analyse économique réalisée par JRG Consulting et SJT Solutions pour le groupe Seed Synergy en 2018i montre clairement que les multinationales des semences ne cherchent pas seulement à augmenter leurs revenus en percevant des royalties, mais qu’elles envisagent également d’obtenir le degré de contrôle qui leur permettra d’augmenter le prix des semences.

Seed Synergy and Value Creation – A Solution in Search of a Problem – Op-Ed by by Cam Goff, UNF 1st Vice President (Policy ) – La question cruciale est de savoir pourquoi AAC pense que les agriculteurs et les citoyens canadiens se porteront mieux si le rendement de l’argent public et fermier investi dans la sélection végétale est détourné vers des entreprises privées où il peut être transféré à l’étranger pour engraisser les dividendes des actionnaires.

La Commission canadienne des grains et la Loi sur les grains du Canada sont de nouveau attaquéespar Cam Goff, 1er vice-président (politiques) de l’UNF – Au cours des quinze dernières années, les sociétés céréalières et le gouvernement fédéral ont examiné la Commission canadienne des grains (CCG) et la Loi sur les grains du Canada (LGC) dans le but d’y apporter des changements favorables aux sociétés. Toujours sous le couvert de la « modernisation » (après tout, qui veut être démodé ?), les changements qu’ils recherchent conduiront inévitablement à plus de pouvoir, d’argent et de contrôle pour les entreprises au détriment des fermières.

Origines de la Commission canadienne des grains– En 1897, 1898 et 1899, les fermiers céréaliers de l’Ouest sont indignés, révoltés et frustrés. Il ne fait aucun doute pour eux que le CP, les négociants en grains et les minotiers forment un monopole destiné à les escroquer. …