Politique: 2021

L'orientation proposée par l'ACIA permettrait aux développeurs de plantes (entreprises de biotechnologie) de décider par eux-mêmes si leur produit répond aux critères de réglementation de l'ACIA en tant que VCN. Il propose d'exempter de la réglementation les plantes génétiquement modifiées qui ne contiennent pas d'ADN étranger si elles ne devraient pas entraîner l'un des quatre impacts environnementaux répertoriés par l'ACIA. De plus, les critères proposés exempteraient certaines plantes génétiquement modifiées qui ont un caractère préalablement approuvé par l'ACIA, même si le caractère approuvé était dans une autre espèce végétale ou développé à l'aide d'une technologie différente. Lire la suite

La NFU appuie le projet de loi C-216, qui garantirait que dans toutes les futures négociations d'accords commerciaux, le gouvernement du Canada ne s'engagerait pas à un autre accès étranger aux marchés canadiens à offre réglementée et n'abaisserait ou n'éliminerait pas les tarifs sur les sont importés au-delà des niveaux de contingent tarifaire (CT) existants. Lire la suite

Tous les produits modifiés génétiquement devraient être réglementés comme nouveaux et donc soumis à une évaluation de la sécurité du gouvernement et à une notification préalable à la mise sur le marché. Cela permettrait à Santé Canada de maintenir sa capacité de réglementer les aliments dérivés de plantes génétiquement modifiées dans l'intérêt public. Cela garantirait aux agriculteurs l'accès aux informations dont ils ont besoin pour faire des choix éclairés sur les semences qu'ils achètent et les cultures qu'ils cultivent. Lire la suite

Le Syndicat national des cultivateurs (NFU) est heureux de contribuer à l'examen par le gouvernement fédéral de la Loi sur les grains du Canada et de la Commission canadienne des grains. La Commission canadienne des grains (CCG), la Loi sur les grains du Canada (CGA) et ses règlements sont à la base de l'économie agricole du Canada. La valeur que la CCG apporte aux Canadiens en général et aux agriculteurs en particulier ne peut être surestimée. La CCG a été créée en 1912 pour apporter équité, transparence, confiance et ordre au secteur céréalier canadien. Le mandat de la CCG est «la Commission doit, dans l'intérêt des producteurs de grains, établir et maintenir des normes de qualité pour le grain canadien et réglementer la manutention du grain au Canada, afin d'assurer un produit fiable pour les marchés intérieurs et d'exportation.» L'utilisation efficace par la CCG de son autorité et de son mandat de réglementation est la base solide sur laquelle la réputation enviable et l'excellente position commerciale du secteur céréalier canadien ont été bâties. Le mandat de la CCG ne doit pas être modifié. Les nombreux agriculteurs du Canada partagent des intérêts communs et doivent traiter avec des acheteurs de céréales qui sont moins nombreux, plus riches et beaucoup plus puissants. Le mandat de la CCG reconnaît que les intérêts des agriculteurs et des sociétés céréalières sont généralement opposés, ce qui est nécessaire pour équilibrer la relation de pouvoir déséquilibrée avec une autorité de réglementation efficace qui protège les intérêts des producteurs de céréales. En cultivant des cultures, les agriculteurs fournissent la richesse qui soutient le commerce des grains entiers et ses dizaines de milliards de dollars d'effets multiplicateurs de retombées annuelles sur l'économie canadienne. Le rôle propre de la CCG est de veiller à ce que les agriculteurs soient traités équitablement, non seulement lorsqu'ils effectuent des transactions individuelles avec des sociétés céréalières, mais aussi en empêchant la corruption du système céréalier dans son ensemble. Le pouvoir de la CCG d'établir et de maintenir la qualité garantit que le grain produit par les agriculteurs a une grande valeur et conserve son intégrité et donc sa valeur, jusqu'à son achat par un utilisateur final. Lire la suite